Celloz a démontré la faisabilité technique de son procédé de fabrication d'éléments de toiture biosourcés en laboratoire, puis pour une première petite série. Il reste encore des opérations de R&D à réaliser concernant l'imprégnation de ces panneaux de toit innovants, imprégnation que les fondateurs souhaitent écoresponsable, et concernant la conformité des panneaux aux exigences réglementaires. Certains tests ont été entrepris et validés, tels que la résistance à l'eau, aux chutes, au vent, mais d'autres doivent encore être menés pour la résistance au feu, entre autres.
La commercialisation pour la toiture secondaire est accessible à l'entreprise, en revanche le plus gros du marché, la toiture primaire, va demander encore deux ans de R&D et certification.
Si le produit n'est pas encore commercialisé, il intéresse déjà Leroy Merlin, leader de la Grande Surface de Bricolage, qui souhaite le proposer à sa clientèle dès que les produits seront disponibles. Une lettre d'intérêt a été signée et nous prouve que le marché est en recherche de ce type de produits.
L'équipe est limitée aux deux co-fondateurs à ce jour, quelques recrutements sont prévus à l'issue de la levée de fonds (technicien et commercial). Il s'agit du premier tour de table de l'entreprise.